L'être humain est tellement bien fait qu'il est conçu pour aller au mieux, en pleine santé jusqu’au bout de sa vie.
Le système de survie est un système protecteur qui provoque des alertes à notre service.
Ainsi, cela peut permettre de faire émerger des choses importantes pour soi et qui n'ont pu être exprimées jusque là .
Cela peut même signaler des choses dont l'importance n'avait même pas été mesurée d'où la surprise ou l'incompréhehension de la situation. "je ne comprends pas, j'ai tout pour être heureuse"
C’est là que les douleurs physiques, l’épuisement, les souffrances morales prennent tout leur sens..
Il n’y a pas de hasard mais que des opportunités pour inciter au mieux -être.
Un mauvais bilan de vie ou une crise de vie qui éclate à la maturité, est comme une remise en question de parcours de vie, comme une phase de flottement pour inciter à accéder à la plénitude, autant pour les femmes qui se sont investies à l’intérieur du foyer qu’à l’extérieur de celui ci ou pour les femmes célibataires.
Cela peut représenter une saturation de ce que nous ne voulons plus.
C’est comme si nous pouvions plus ressentir de cohérence dans notre vie.
La femme qui accueille et qui accepte cette étape de vie fait le choix de s’accueillir telle qu’elle est, avec ses qualités, ses défauts, son histoire, ses envies.
Ce qui est à la fois tout simple et extraordinairement difficile parfois.
Un sentiment de culpabilté, de colère envers les autres, envers soi même peut être un frein à cette acceptation.
Le fait d’enquêter sur soi, de s’entendre, de s’écouter rend la femme qui le désire plus attentive à des réponses qui la rendent heureuse, enthousiaste, rayonnante et pleine de vitalité.
"Les crises, les bouleversements, la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d'indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie"
Karl Gustave Jung